Titre : | La montagne éternelle | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Mamadali Mahmoudov, Auteur | Editeur : | Editions de l'Aube | Année de publication : | 2008 | Importance : | 262 p. | Format : | 22 x 2,1 x 14,5 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7526-0473-6 | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 840 Littérature des langues romanes. Littérature française | Note de contenu : | "Mais voilà que le grand Rahmat lui-même sortit de la forêt profonde pour se diriger vers le moulin. La hachette et la scie qu'il tenait à la main brillaient comme un rayon de soleil dans un ciel clair. Il marchait à grandes enjambées. Ni son apparence empreinte de détermination et d'inflexibilité, ni ses yeux, qui lui donnaient un air farouche mais qui pétillaient d'intelligence, ni même les poils blancs de sa barbe et de ses moustaches ne montraient quel âge il avait. C'était peut-être dû à la vigueur et à la force qui se dégageaient de chacun de ses mouvements, ou encore au feu qui brûlait dans ses yeux tigrés. Dans toute son apparence transparaissaient l'indépendance de sa nature, la solidité de ses convictions et la fureur qui l'animait. " Voici, bien campé, l'un des personnages de ce superbe roman, dont l'héroïne est sans conteste l'Oqqoya, cette montagne éternelle qui veille sans faillir sur l'Ouzbékistan. Indifférente aux mœurs, à l'oppression, au monde qui change, elle est le symbole de la liberté - cette figure étrange, parfois insaisissable, pour laquelle les hommes sont prêts à tous les sacrifices.stin est à l'œuvre et l'incendie de Troie n'en finit pas de resplendir d'un sombre éclat." |
La montagne éternelle [texte imprimé] / Mamadali Mahmoudov, Auteur . - [S.l.] : Editions de l'Aube, 2008 . - 262 p. ; 22 x 2,1 x 14,5 cm. ISBN : 978-2-7526-0473-6 Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 840 Littérature des langues romanes. Littérature française | Note de contenu : | "Mais voilà que le grand Rahmat lui-même sortit de la forêt profonde pour se diriger vers le moulin. La hachette et la scie qu'il tenait à la main brillaient comme un rayon de soleil dans un ciel clair. Il marchait à grandes enjambées. Ni son apparence empreinte de détermination et d'inflexibilité, ni ses yeux, qui lui donnaient un air farouche mais qui pétillaient d'intelligence, ni même les poils blancs de sa barbe et de ses moustaches ne montraient quel âge il avait. C'était peut-être dû à la vigueur et à la force qui se dégageaient de chacun de ses mouvements, ou encore au feu qui brûlait dans ses yeux tigrés. Dans toute son apparence transparaissaient l'indépendance de sa nature, la solidité de ses convictions et la fureur qui l'animait. " Voici, bien campé, l'un des personnages de ce superbe roman, dont l'héroïne est sans conteste l'Oqqoya, cette montagne éternelle qui veille sans faillir sur l'Ouzbékistan. Indifférente aux mœurs, à l'oppression, au monde qui change, elle est le symbole de la liberté - cette figure étrange, parfois insaisissable, pour laquelle les hommes sont prêts à tous les sacrifices.stin est à l'œuvre et l'incendie de Troie n'en finit pas de resplendir d'un sombre éclat." |
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